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Le gouvernement lucernois a pris position en faveur des symboles chrétiens dans les écoles. Le gouvernement cantonal a pris position mardi après un mois de discussions publiques animées.

C’est le père de deux enfants d’une école de la commune de Triengen qui avait ravivé la question en exigeant que les crucifix de l’établissement soient décrochés. Depuis, la famille allemande a décidé de quitter Triengen. Elle avait notamment reçu des menaces de mort.

Depuis, le débat s’est échauffé, encore alimenté par le licenciement en Valais d’un enseignant qui avait refusé de suspendre un crucifix dans sa classe. Dans sa prise de position, le gouvernement lucernois s’en est remis à la tradition chrétienne du canton. «Les croix sont aujourd’hui un symbole auquel n’est pas rattachée une seule appartenance religieuse», affirme-t-il, cité par la Neue Luzerner Zeitung.

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