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Cinq années après le lancement de l’Appel des Indigènes de la République en janvier 2005, le Parti des Indigènes de la République (PIR) est né à Saint-Denis (93) lors d’un congrès constitutif qui a eu lieu les 27 et 28 février. Le PIR sera un parti de lutte contre «la suprématie blanche».
Le congrès a élu une direction politique et désigné 4 porte-parole : Houria Bouteldja, Joby Valente, Bidzanga Nana et Mbaireh Lisette.

(…) il n’est plus suffisant de résister au jour le jour contre les différentes formes de discriminations raciales, contre la négrophobie et l’islamophobie, les violences policières, les inégalités, etc., on ne peut plus se contenter d’affirmer notre solidarité avec les autres peuples opprimés, on ne peut plus se résoudre à faire confiance aux partis existants pour prendre en charge nos aspirations.
Désormais, nous devons investir pleinement l’arène politique, assumant totalement la légitimité de notre droit à transformer la France et ses institutions. Nous ne serons les Arabes et les Noirs de service de personne ! Le Parti des Indigènes sera notre propre parti.

Le PIR sera un parti de lutte contre la suprématie blanche et pour l’avènement, en France comme dans le reste du monde, d’une société assurant l’épanouissement de tous dans l’égalité, la justice et la dignité des individus, des communautés et des peuples.
Dans cette perspective, le PIR agira en France pour l’émergence d’une nouvelle majorité politique, capable de contrôler les principaux leviers institutionnels et déterminée à engager les profondes réformes institutionnelles, sociales, économiques et culturelles, nécessaires pour mener à bien le processus décolonial, dans ses différentes dimensions, et combattre les inégalités raciales.
Source : MIR

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