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Jusqu’au 18 avril, la Fondation Cartier-Bresson, à Paris, consacre une rétrospective à l’auteur du « Baiser de l’Hôtel de Ville », intitulée : « Robert Doisneau, du métier à l’œuvre ». A l’honneur, des dizaines de clichés méconnus et parfois inédits sur la vie populaire à Paris et sa banlieue entre 1929 et 1966.

Ces photos témoignent de l’identité des banlieues franciliennes, sans artifice. A Ivry, Arcueil, Gentilly… (…) Les conditions de vie étaient très dures dans ces banlieues de l’après-guerre. Pas d’allocations, de télévision ni terrains de sport. Pas question également de voyager à l’étranger aux frais des municipalités pour les jeunes scolarisés.
Pourtant, les Français de souche et migrants européens qui y habitaient, ne brûlaient pas de voitures, n’organisaient pas de trafics d’armes et de drogues et ne sifflaient pas la Marseillaise. Ils étaient fiers d’être Français. Robert Doisneau fut le témoin de l’identité française. C’était avant les zones de non droit multiethniques.
Source : Novopress

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