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Extrait du journal L’Equipe du 7 octobre 2009

Dans son autobiographie, Serena Williams revient sur les épreuves personnelles qui ont bâti sa personnalité.

(…) Novembre 2006 : Serena effectue son premier périple en Afrique, terre de ses ancêtres (Ghana et Sénégal). «J’ai quitté ce pays en pensant que je faisais partie de la race la plus forte de toute l’histoire de l’humanité (…) Je me suis dit que si mes ancêtres, qui étaient des esclaves, n’avaient pas été si résistants, je n’existerais pas. Cette expérience incroyable a a eu une énorme influence sur moi et sur mon tennis(source) (capture)
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• Note 1 : Plus révélateur que la déclaration elle-même est le fait que le journal publie cet extrait sans sourciller, et l’ait même choisi.
• Note 2 : rappelons à toutes fins utiles que le mot “esclave” vient du mot « slave » (pays slaves) [, du fait du grand nombre de Slaves réduits en esclavage dans les Balkans par les Germains et les Byzantins pendant le haut Moyen Âge (source – etymologie)
• Note 3 : Cette petite déclaration ET sa publication sont essentiellement révélateurs de l’imaginaire qui s’est construit au cours des récentes décennies. Jetant par dessus bord toute connaissance — même minimale — de l’histoire, les seules représentations mentales actuellement en vigueur font des Noirs d’Afrique les seules victimes de la Création (après les juifs), et des Blancs Occidentaux les uniques bourreaux. Un décalque commode de la vision marxiste.

La phrase de Serena Williams a été ajoutée
à notre article Raciste / pas raciste

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