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Motörhead – 1916

Seize ans quand je suis parti pour la guerre,
Pour me battre pour une terre faite pour des héros,
Dieu à mes côtés, et une arme dans ma main,
Compte mes jours jusqu’à zéro,
Et j’ai marché au pas et je me suis battu et j’ai saigné et je suis mort,
Et je ne suis jamais devenu plus vieux,
Mais je savais qu’une année au front,
Est une assez longue vie pour un soldat

Nous nous sommes tous portés volontaire et nous avons noté nos noms,
Et nous ajoutons deux ans à nos âges,
Désireux pendant la vie et en avant dans le jeu,
Prêts pour une page de l’Histoire,
Et nous avons combattu et nous nous sommes bagarrés et nous avons résisté jusqu’à ce que nous nous soyons tenus,
Dix milles, épaules contre épaules,
Une soif pour le Hun, nous étions de la chair à canon,
C’est ça quand vous êtes des soldats,
J’ai entendu mon ami pleurer et il est tombé à genoux,
Toux de sang pendant qu’il criait pour sa mère,
Et je suis tombé à ses côtés et c’est comme cela que nous sommes morts,
Accrochage comme des gosses entre eux,
Et je m’étends dans la boue et les entrailles et le sang,
Et j’ai pleuré pendant que son corps devenait plus froid,
Et j’ai appelé ma mère, mais elle n’est jamais venue,
Bien que ce n’ait pas été ma faute et je ne devais pas blâmer,
Le jour à peine à la moitié, et dix mille massacrés,
Et maintenant il n’y a personne pour se rappeler de nos noms,
Et c’est comme cela pour un soldat.
Le texte original:
16 years old when I went to war,
To fight for a land fit for heroes,
God on my side,and a gun in my hand,
Counting my days down to zero,
And I marched and I fought and I bled
And I died & I never did get any older,
But I knew at the time, That a year in the line,
Is a long enough life for a soldier,
We all volunteered,
And we wrote down our names,
And we added two years to our ages,
Eager for life and ahead of the game,
Ready for history’s pages,
And we fought and we brawled
And we whored ’til we stood,
Ten thousand shoulder to shoulder,
A thirst for the Hun,
We were food for the gun,and that’s
What you are when you’re soldiers,
I heard my friend cry,
And he sank to his knees,coughing blood
As he screamed for his mother
And I tell by his, side,
And that’s how we died,
Clinging like kids to each other,
And I lay in the mud
And the guts and the blood,
And I wept as his body grew colder,
And I called for my mother
And she never came,
Though it wasn’t my fault
And I wasn’t to blame,
The day not half over
And ten thousand slain,and now
There’s nobody remembers our names
And that’s how it is for a soldier
(Merci à Triskelion)

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