Fdesouche

Douce France

  • Marseille : 2 adolescents blessés par des tirs de kalachnikov. Source
  • Maubeuge : l’église du Sacré-Coeur saccagée. Trois jeunes d’une vingtaine d’années qui ont pris la fuite seraient en cause. L’inscription “Allah on t’aime” a été retrouvée sur un cahier de prières. Source
  • Marseille : une centaine d’émeutiers s’opposent à l’arrestation d’un dealer par les forces de l’ordre. Source
  • Mortagne-du-Nord : deux jeunes incendient un transformateur électrique et lancent un cocktail Molotov sur la gendarmerie. Leur placement en garde à vue indispose le “grand frère”, qui profère des menaces aux gendarmes avant d’incendier la haie bordant la brigade. Source
  • Les violences urbaines se déplacent vers les milieux ruraux : c’est l’une des tendances de fond relevées par l’Observatoire National de la Délinquance dans son analyse de la criminalité en France au cours des cinq dernières années. Source
  • Marseille : l’insécurité s’installe sur le marché nocturne du Vieux-Port. Bon nombre de commerçants et d’artisans envisagent de jeter l’éponge devant la multiplication des agressions et des vols. Source
  • Canton de Saint-Gall (Suisse) : un quart des élèves de 9ème ont déjà commis un crime ou un délit. Selon une étude de l’Institut de criminologie de l’Université de Zurich, qui a interrogé 5.200 jeunes de 9ème(1) , 26% des élèves ont “au moins une fois blessé quelqu’un, commis un vol, participé à une rixe ou commis une agression sexuelle“, et 29% d’entre eux ont déjà été victimes d’un tel acte. 73% des forfaits sont commis dans l’espace public, et les agresseurs sont trois fois plus souvent de sexe masculin que féminin. L’étude révèle également que les délits sont plus fréquemment commis par des “jeunes issus de l’immigration” que par des Suisses, mais la presse a préféré passer sous silence les données chiffrées associées à ce critère d’analyse. Sources 1 2
  • (1) dernière année de degré secondaire, équivalent à la classe de terminale (NDLR).

  • Néo-barbarie : un chien brûlé vif par un jeune à Perpignan. Aspergé d’essence puis enflammé à l’aide d’un briquet, le chien survit difficilement sous perfusion de morphine. Le criminel, âgé de 17 ans et connu des services de gendarmerie, a été laissé en liberté. Il comparaîtra au tribunal correctionnel de Perpignan en décembre, tout comme sa complice, âgée d’une vingtaine d’années. Sources 12
  • Fdesouche sur les réseaux sociaux