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Siégeant au milieu de la rue de l’Industrie, le centre EVAM (Etablissement vaudois d’accueil des migrants) de Sainte-Croix fait se côtoyer depuis onze ans habitants, commerçants et requérants d’asile. Si les résidents du quartier n’ont pas tous à se plaindre du comportement des réfugiés, certaines relations ne relèvent pas toujours du bon voisinage.
«Suivant les vagues d’arrivées, il se passe des choses totalement inacceptables, et ce n’est pas raciste que de dire qu’il y a des délinquants!» dénonce Marek Mogilewicz, dont la maison fait face au foyer. «Certains ont élu domicile devant chez moi. Ils restent sur l’escalier et bloquent l’accès. Je leur ai demandé gentiment de se déplacer mais j’ai récolté des insultes et des menaces. Ma femme aussi a droit à des remarques désobligeantes dès qu’elle sort. Chaque jour, je ramasse les détritus qu’ils laissent devant ma porte.»
Au No 5 de la rue, Mathilde Laville partage l’indignation de son voisin et a déjà interpellé l’EVAM et la police: «Je suis très fâchée! Il y a du bruit du matin au soir. Comment expliquer que les requérants, qui ont de la place derrière leur bâtiment, se tiennent toujours à côté des habitations? Il y a un problème d’encadrement.»
«La Migros de la drogue»
Lire la suite (merci à Mathieu)

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