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Libération : Le 21 septembre 2001 à 10 h 17, l’usine AZF de Toulouse explosait, causant trente morts et des destructions inimaginables. (…)
Pourquoi cette explosion ? Le procureur de la République, Michel Bréard, donne une explication deux jours plus tard : à «99 %», il s’agirait d’un accident industriel. Les témoignages affluent. Cette usine était «une poubelle», rapporte la presse. Pour les salariés d’AZF, ces accusations sont intolérables. Ils se regroupent dans l’association Mémoire et solidarité derrière le cégétiste Jacques Mignard. Ils ont perdu 21 de leurs camarades et ne veulent pas laisser flétrir la mémoire ouvrière de leur outil de travail. Ils s’acharnent à évoquer d’autres hypothèses, dont l’attentat. Ce 21 septembre 2001 ne tombe que dix jours après les attaques aux Etats-Unis. Ils évoquent le survol de l’usine par un aéronef non identifié, le brouillard dû à un nuage aérosol, une première explosion passée sous silence par les enquêteurs et enfin les boules de feu, éclairs, rayons lumineux ou sifflements observés, selon eux, avant le cataclysme.

La thèse officielle, celle de l’accident chimique retenue depuis le rapport des experts, a été mise à mal par de nombreux ouvrages :

Extrait du reportage « Pièces à conviction » diffusé sur France 3 le 18 septembre 2003 concernant les deux explosions à Toulouse le 21 septembre 2001 :
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