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Elisabeth Badinter, Publicis et les Précieuses ridicules : c’est le titre d’une note que Fabrice Nicolino, journaliste et conseiller éditorial pour le groupe Bayard, blogueur à ses heures, a consacré à la philosophe féministe.
Il accuse aujourd’hui Google d’avoir désindexé sa note sur demande de cette dernière (ou du groupe Publicis).
Blog Nicolino Badinter

L’article en question est assez critique : le blogueur reprend notamment des propos du journaliste du Monde Hervé Kempf.

Page 62 de son livre, il attaque madame Badinter. Il y écrit exactement ceci : « On ne verra pas une coïncidence dans le fait qu’une philosophe favorable à la liberté de prostitution, Élisabeth Badinter, se trouve détenir 10,32 % du capital d’une des plus grandes compagnies de publicité du monde – Publicis – au conseil d’administration duquel elle a sa place ».
Pour Kempf, que je rejoins intégralement, la publicité a joué un rôle clé dans la marchandisation du corps humain, exploitation sexuelle y compris. Je me souviens de ces féministes qui défilaient aux cris de : « Notre corps nous appartient ». Je criais alors avec elles. Je ne le ferai plus, car nos corps appartiennent désormais à TF1, à Coca, à la pub en général, à tous ces foutus salopards ivres d’eux-mêmes”, écrit-il.

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