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Extraits :
Dès la première nuit, ça a commencé.
Les voisins pakistanais du dessus ont commencé à crier, à hurler. Il y avait un type qui battait sa femme. Le bruit était insupportable. (…)

J’ai découvert que mon nouveau quartier était l’une des plus grosses communautés musulmane d’Ecosse. Au début, quand je marchais dans les rues, je souriais aux gens, mais tout le monde m’ignorait. Un jour, une voiture est passée à ma hauteur et un jeune a passé la tête par la fenêtre et a crié : “enculé de blanc”. (…)

J’ai vécu avec des musulmans, et ce que j’ai appris, c’est qu’ils n’ont aucune envie de s’intégrer à la culture européenne, aucune envie d’adopter les valeurs occidentales et qu’ils n’ont pas le moindre intérêt pour la culture britannique ou pour quoi que ce soit d’autre.

Ils ont l’islam. Ils SONT l’islam. Ils sont musulmans, et les musulmans sont fidèles à l’islam. Et c’est tout. C’est une idéologie qui les remplit tout entier. Les musulmans ont des relations avec nous, les “kuffar”, mais pas parce qu’ils le souhaitent, seulement parce qu’ils y sont obligés. S’ils pouvaient faire autrement, ils nous ignoreraient complètement.


« Mon histoire commence à Bristol, dans le Sud-Ouest de l’Angleterre.

En juin 2003, je voulais quitter Bristol : j’avais été témoin d’une succession d’événements qui m’avaient à la fois terriblement choqués et déprimés. Le plus grave d’entre eux était une violente agression contre un étudiant, un soir. C’était dans le quartier Saint Paul, un coin très touché par la délinquance et la criminalité, un des coins préférés des immigrés et des afro-caribéens. Le jeune homme rentrait chez lui et nous l’avons vu se faire attaquer, se faire voler son portable. Des types l’ont frappé et il est tombé, inconscient. On s’est précipité pour l’aider et les mecs se sont enfuis. L’étudiant était couvert de sang. »

Parmi les autres événements qui m’ont décidés à quitter la ville, il y a eu l’apparition de patrouilles de policiers armés dans les rues de Bristol. Il s’agissait d’une mesure destinée à lutter contre les guerres de gangs que se livraient des bandes de noirs rivaux.

Bristol, c’est la plaque tournante du crack en Angleterre. Ces gangs, c’est un mélange d’Afro-caribéens, de Somaliens, plus quelques locaux. Les gens qui vivent dans ces quartiers sont constamment victimes de vols, d’agressions par des types drogués et défoncés au crack.

J’en ai eu assez. Tout ça, c’était trop pour moi. J’ai fait mes valises. Le jour de mon départ, je me souviens avoir vu une longue queue de types qui poireautaient sur le trottoir : essentiellement des africains et des immigrés de l’Est. C’était à l’extérieur du Centre pour les demandeurs d’asile.

L’Ecosse, j’y ai grandi. Dans les lowlands. Une région magnifique de landes et de collines, l’un des coins les moins peuplés de Grande-Bretagne. En arrivant chez mes parents, j’ai su que j’avais pris la bonne décision et je me suis tout de suite senti chez moi au milieu des arbres et des collines.

Après quelques mois, je me suis mis à chercher du boulot. J’avais des amis à Glasgow, 150 km plus au nord, et c’est là que j’ai décider de tenter ma chance. J’ai toujours aimé Glasgow, l’une des villes les plus riches de l’Empire à une époque. Une ville à l’histoire tourmentée mais animée, et pleine d’énergie.

Finalement, j’ai décidé de m’y installer, et j’ai choisi Pollokshields, un quartier dans le sud. C’était à l’origine l’une des premières “banlieues-jardin” de Grande-Bretagne : de belles maisons, des immeubles grands et spacieux. C’était aussi l’un des rares quartiers dans mes prix. J’ai décidé d’acheter un appartement. J’étais plein d’espoir, la tête rempli d’idées et de l’énergie à revendre.

Dès la première nuit, ça a commencé. Les voisins du dessus ont commencé à crier, à hurler. Il y avait un type qui battait sa femme. Le bruit était insupportable. Ils étaient pakistanais.

C’est alors que j’ai découvert que j’étais passé à coté de le la dimension sociale de mon nouveau quartier. J’avais été séduit par l’esthétique des maisons et l’architecture géorgienne, mais le quartier était en fait l’une des plus grosses communautés pakistanaise musulmane d’Ecosse.

Au début, quand je marchais dans les rues, je souriais aux gens, mais tout le monde m’ignorait.
Un jour, une voiture est passée à ma hauteur et un jeune a passé la tête par la fenêtre et a crié : “enculé de blanc”.

Une semaine plus tard, j’ai remarqué un jeune type qui conduisait de façon très agressive à un carrefour, et qui a failli percuter un gars à moto. Le type a bondi hors de sa voiture et a hurlé “batard de blanc”, avant de redémarrer en trombe.

La même semaine, alors que je marchais, j’ai vu un gamin d’environ 8 ans se faire chasser du parc par deux jeunes pakistanais. Je suis intervenu car le garcon avait l’air bouleversé. Les deux autres m’ont regardé sans trop savoir quoi faire, et ont crié des trucs dans une langue que je ne comprenais pas.

Je me disais, à la suite de tous ces événements, qu’il s’agissait là de difficultés temporaires dans le “Jardin Multi-culturel”, et que les choses s’arrangeraient avec le temps.

Mais un peu plus tard, on était alors en mars 2004, un jeune garcon anglais, originaire de Glasgow a été kidnappé à quelques rues de chez moi, par quatre musulmans pakistanais. Il a été torturé, puis brulé vivant. Je ne vais pas entrer dans les détails mais peut-être avez-vous entendu parler de la mort atroce de Kriss Donald, mort pour la seule raison qu’il était blanc.

A cet instant, j’ai réalisé que ma situation était en fait pire que celle que j’avais fuie à Bristol.Mes rêves et mes belles idées multiculturelles étaient en lambeaux.

J’ai essayé de vendre mon appartement, mais personne ne voulait l’acheter, à part des musulmans. J’ai essayé de le louer : les gens trouvaient mon appart super mais personne ne voulait habitait dans le quartier. Quelques mois plus tard, mes voisins, des allemands, ont déménagé pour la Grèce. C’étaient les seuls amis que j’avais dans le quartier. Ils ont vendu leur appart à des musulmans, qui y ont ouvert une école islamique. Je me suis plaint, mais on m’a ignoré. En fait, à part moi et une dame de 70 ans, tout l’immeuble était occupé par des musulmans.

Nous sommes en février 2007. J’ai finalement réussi à vendre. En mai,je serai parti mais j’ai beaucoup appris. J’ai vécu avec des musulmans, et ce que j’ai appris, c’est qu’ils n’ont aucune envie de s’intégrer à la culture européenne, aucune envie d’adopter les valeurs occidentales et qu’ils n’ont pas le moindre intérêt pour la culture britannique ou pour quoi que ce soit d’autre.

Ils ont l’islam. L’islam les consume, les possède, ils SONT l’islam. Ils sont musulmans, et les musulmans sont fidèles à l’islam. Et c’est tout. C’est une idéologie qui les remplit tout entier. Leur but est de faire selon la volonté d’Allah, et c’est là leur objectif principal. Les musulmans ont des relations avec nous, les “kuffar”, mais pas parce qu’ils le souhaitent , seulement parce qu’ils y sont obligés. S’ils pouvaient faire autrement,ils nous ignoreraient complètement.

Alors oui, j’ai rencontré des musulmans courtois et agréables. Et je suis sur qu’il existe toutes sortes de musulmans différents. Mais l’islam écrase toutes ces différences. L’islam homogénéise des nations entières, élimine la raison, les individualités et les libertés. Je l’ai lu dans les yeux des femmes pakistanaises incultes qui débarquent à Glasgow de leur lointain Kashmir. Je l’ai lu dans les yeux des musulmans de 2e et 3e génération : tout simplement, ils n’aiment pas l’occident ; ils baignent dans un monde qui est totalement incompatible avec les valeurs européennes. Ils cherchent le réconfort dans une religion sécrétée par les sables du désert il y a 14 siècles, ils cherchent une consolation dans des mosquées payés par les dollars du pétrole wahabite… Ils veulent le mode de vie ocidentales, mais en même temps, ils nous détestent.
Et pour ma part, j’ai bien vu que je ne pouvais pas aimer l’islam. Comme beaucoup de gens maintenant, je le considère comme une menace majeure contre toutes les valeurs auxquelles l’Europe devrait être fidèle.

Maintenant que Tony Blair est sur le départ, les gens lui demandent ce qu’il va nous laisser. Ce qu’il nous laisse, c’est le début d’un processus d’islamisation de la Grande-Bretagne, d’une balkanisation de l’Angleterre. Je l’ai vu et je l’ai vécu. Quand les effets du boom économique auront disparu, la réalité de la “multi-culturalité” apparaîtra : des communautés rivales juxtaposées, sans aucun lien entre elles, sans aucune valeur ou identité commune, incapable de se rejoindre pour un but commun.

Les politiques des néo-marxistes, avec leurs références perpétuelles à des abstractions comme les “Droits de l’homme”, nous ont conduit sur un chemin extrêmement dangereux. Le monde change. L’invasion de l’Europe n’est pas forcément consciente de la part des musulmans et des immigrés, mais elle est devenue inévitable, vu la pression sur les ressources mondiales, l’expansionisme de l’islam et la chute vertigineuse des naissances chez les européens de souche.

L’Ouest a signé un pacte faustien avec l’islam, et si rien ne change, nous en paierons le prix.

Pour ma part, je cherche toujours un foyer. Toutes ces conclusions auxquelles j’ai abouties sont survenues en un lieu que je n’imaginais pas, un endroit où je ne me sens pas chez moi : mon propre pays.

Ce sont les élites libérales le véritable ennemi. Les musulmans font juste ce qu’ils ont toujours fait et ce qu’ils sont sensés faire, et finalement je ne les blame pas, mais ils ne sont pas européens. Je n’aime pas leurs valeurs, je n’aime pas leur idéologie et l’islam n’est clairement pas une religion au sens occidental du terme. C’est une construction idéologique, théocratique et totalitaire. Nos dirigeants, négligeant cela, nous mettent en péril.

Les Montagnes Rocheuses, au Canada, c’est plutôt joli en cette saison, je crois… » (traduit de cet article)

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