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Après Big Brother, déjà bien installé en Europe, c’est son cousin Big Barbu qui guette les pays occidentaux. Les nombreuses condamnations — judiciaires ou morales —  pour  “islamophobie” qui ont lieu dans toute l’Europe, nous mènent tout droit à l’instauration d’une «laïcité» “goût nouveau”, fortement teintée de musulmaneries diverses.

Toutes les nations européennes — la Grande-Bretagne semble déjà perdue à cet égard (récente introduction de tribunaux islamiques) — sont soumises à la même offensive conjuguée du mondialisme économique, du métissage idéologique et de l’immigration imposée par Bruxelles.
Et il y a longtemps que l’Europe a dépassé le stade d’un hypothétique “enrichissement” sociétal (une notion déjà plus que suspecte à la base). Nous assistons en effet depuis des décennies à l’injection régulière et massive de populations dont les cadres moraux et les structures mentales sont radicalement antagonistes aux nôtres, un processus activement soutenu par les classes dirigeantes et des gauches bisounours, qui osent encore prononcer sans rire le mot “intégration”.
L’ensemble du travail de simple collecte que nous (et d’autres) effectuons démontre chaque jour davantage qu’un basculement “mental” s’opère à grande vitesse vers une société imprégnée de références afro-orientales, faite de violences inter-ethniques, de luttes semi-tribales, de dérives claniques, d’oppression des femmes, et de repli communautaire. La décrépitude de l’école publique est le symptôme le plus révélateur de ce basculement progressif..
Bref, un retour en arrière de quelques siècles vers ce que le monde méditerranéen ou africain peut nous offrir de pire. Et le fait que les « valeurs républicaines », actuellement chantées sur tous les tons, soient appelées à la rescousse en permanence et mitraillées à la moindre occasion, signent à l’évidence que cette “république” là est à l’agonie.
De petits sites comme le nôtre — immédiatement condamnés pour «extrême-droiture» (une classification que nous rejetons en bloc) — ne peuvent que constater la situation et la dénoncer. Nous n’avons strictement aucun moyen d’action.
C’est en osant parler, en osant braver les tabous installés dans les consciences par 30 ans de matraquage culpabilisateur et d’«anti-racisme» délirant que vous aurez, chacun, une (petite) chance de contrer ce processus délétère (et sauver ce qui peut encore l’être).

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