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Jeudi 3 avril, direction la manif…

Dès la sortie de la rame du RER, le ton est donné : une centaine de jeunes envahissent le quai, crient et tapent sur tout ce qui peut faire du bruit.

Ils ne sont pas rangés correctement dans le cortège, ils avancent plus vite que les autres et n’ont pas l’air de manifester. Comme par hasard, ils affectionnent les capuches et écharpes, qui leur masquent le bas du visage. Plus ils progressent, plus ils sont nombreux, grâce à un recrutement d’autres jeunes, qui les suivent instinctivement. Les ralliés ne savent pas ce qu’ils vont faire mais ils savent qu’avec une telle équipe, à un moment donné, il y aura « embrouille ». Suite

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