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Nicolas Sarkozy multiplie les signes de rapprochement avec les États-Unis : après avoir durci le ton sur l’Iran, le président français pousse les feux de la réintégration de la France dans la structure militaire de l’Otan, décide d’envoyer des renforts en Afghanistan et apporte son soutien au projet américain de bouclier antimissiles.

Un atlantisme fidèle à la stratégie suivie depuis son arrivée à l’Élysée, où il s’est employé à gommer les séquelles laissées par la non participation de la France à l’intervention en Irak décidée par son prédécesseur, Jacques Chirac.

“Plus on est amis avec les Américains, plus on est indépendants, plus on peut construire l’Europe, et notamment l’Europe de la défense”, explique un haut responsable français.

Une posture constatée lors du sommet de l’Otan à Bucarest, où le Premier ministre canadien Stephen Harper a même parlé de “rupture”, l’un des mots favoris de Nicolas Sarkozy

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