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Le 7 février s’est ouvert à Toulouse le procès de M. Lukini Kifiboko. En 2005, il avait atrocement mutilé son épouse Bokwango en lui injectant du “Destop” (soude) dans l’épaule. Le soir du drame, l’ancien aide soignant congolais avait roué de coups sa femme, avait tenté de l’étrangler avant de sortir une seringue et de lui injecter du détergent. La femme est aujourd’hui infirme à vie et souffre de douleurs atroces. Condamné à 10 ans de prison pour acte de cruauté et barbarie. (1)(2)

La France se réjouit d’accueillir des pratiques aussi novatrices. Les médecins sont en effet confrontés à une première médicale.

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