Le gouvernement britannique vient de prendre une décision qui fait frémir et qui doit bien faire rire dans les arrière-cours des mosquées. Les écoles musulmanes privées viennent en effet d’obtenir le pouvoir de “s’auto-inspecter” et de “s’auto-controler”.
Les autorités viennent de donner aux écoles privées islamiques le droit de nommer leurs propres inspecteurs au sein d’un corps indépendant, afin d’être plus “sensible à l’éducation musulmane”. Alors que de graves dérives ont déjà été constatées au sein des écoles islamiques, cette décision est sensée “promouvoir l’intégration“. (source)
Tout cela dans un contexte où :
• 36 % des jeunes musulmans en G-B. pensent que ceux qui quittent l’islam doivent être tués. (source)
• Les services secrets britanniques veulent recruter plus d’agents issus de “minorités ethniques” (source)
• des leaders musulmans de premier plan se permettent de qualifier la Grande-Bretagne de “nazie” en référence à une supposée islamophobie (source)
• les livres glorifiant le terrorisme pullulent dans les mosquées et les écoles musulmanes (source)
• un rapport constate le chiffre alarmant de femmes musulmanes pakistanaises qui se suicident (source)
• un nombre croissant de Britanniques prennent la décision de quitter le pays, un choix directement lié à la politique d’immigration de la Grande-Bretagne (source)
Cette petite liste, très incomplète, est à rapprocher en outre d’un des événements symboliques les plus forts de ces dernières années en Grande-Bretagne et hélas passé trop inaperçu : lors de l’affaire de l’anoblissement de Salman Rushdie par la Reine en juin 2007, les porte-paroles de tout ce que l’Angleterre compte d’associations musulmanes dites “représentatives” et soit-disant modérées avaient publié une déclaration de protestation considérant le geste comme “une provocation délibérée et une insulte au 1,5 milliards de musulmans de la planète”, “une marque de duplicité du gouvernement britannique” et “un effort délibéré de heurter les sensibilités musulmanes mais aussi de semer les germes de la discorde”. (source)
