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Le lobby B’nai Brith Canada attaquait aujourd’hui le projet de loi 195 déposé par le Parti Québécois et Pauline Marois. Bien sûr, le B’nai Brith fait preuve, ici encore, d’une impartialité et d’une rigueur sans faille…

Alors, selon Steven Smilovitch, un conseiller juridique de l’organisation, le projet de loi est digne des partis d’extrême-droite d’une certaine époque de l’Europe de l’Est. Oui, oui, c’est ça…

Comparons donc la proposition péquiste avec celle d’autres états.

Au Québec, après l’adoption de la loi 195, un nouveau citoyen devrait avoir une connaissance appropriée de la langue française pour être candidat à des élections. Cependant, il n’aurait pas besoin de cette connaissance de la langue pour exercer son droit de vote, obtenir des services ou profiter des différents droits prévus par les chartes.

Au Canada? Il faut avoir une connaissance de l’anglais ou du français permettant de tenir un échange avec une autre personne. Il faut également possèder une certaine connaissance de l’histoire du Canada, qui sera évaluée avec un test. Ensuite, il faut assister à une cérémonie, au cours de laquelle il faudra prêter allégeance à Bébette 2 et à sa potiche Mimi. Après, l’immigrant devient un citoyen canadien, et peut profiter de l’ensemble des droits prévus. Pas avant.

En Israël? Je vous copie un extrait de site web

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