Vingt ans après une première étude sur les résultats scolaires des enfants pauvres dans le système éducatif, le dernier rapport du Bureau de l’inspection de l’Éducation nationale britannique (Ofsted), intitulé « Unseen Children » (« Enfants invisibles »), jette à nouveau un pavé dans la mare. Aujourd’hui, et contrairement aux années 80-90, les enfants pauvres des grandes villes, majoritairement issus des minorités ethniques, s’en tirent de mieux en mieux.





