Déjà plus de 130 femmes sont mortes sous les coups de leur conjoint et cette violence n’épargne aucune composante de la société. Mon soutien aux victimes de violences conjugales est total.
Dans un autre reportage publié par la journaliste américaine Rowaida Abdelaziz sur les violences conjugales au sein des communautés musulmanes aux États-Unis, l’auteure décrivait combien le poids de l’islamophobie rendait les victimes otages d’un chantage insupportable; celui de devoir garder le silence pour ne pas alimenter les thèses islamophobes et ternir l’image de “la communauté”.
Mais il n’y a plus “communauté” lorsque sa vie est menacée, que cette même communauté fait peser le poids de la culpabilité sur la victime, que les responsables communautaires font preuve d’une démagogie abjecte en alimentant l’omerta au nom de “la communauté”.
(Merci à Michel)