L’institution propose aussi une aide de 6.000 euros par personnes transférée. Elle envisage aussi la mise en place de plateformes régionales de débarquement, basées cette fois hors de l’UE. Ce dispositif doit être mené en étroite collaboration avec l’Organisation internationale pour les migrations et le Haut-Commissariat de l’ONU pour les réfugiés. Les deux concepts “doivent aider à s’assurer que nous avons une réelle responsabilité partagée pour répondre aux défis migratoires complexes“, souligne la porte-parole de la Commission, Natasha Bertaud.