L’homme avait semé l’inquiétude le 5 novembre 2025, à la gare ferroviaire de Redon (Ille-et-Vilaine). Âgé de 26 ans, ce jeune s’était montré menaçant, muni d’un bâton de bois, envers un enfant de 2 ans. Avant de frapper deux adolescents qui tentaient de s’interposer.
Son visage juvénile est en partie dissimulé par une épaisse touffe de cheveux bruns. Placé en détention provisoire depuis un mois et demi, il alterne les excuses en français et en arabe, aidé d’un interprète.
Il se promène muni d’un bâton en bois et se dirige vers un enfant de 2 ans. Sa mère indique dans ses déclarations que vous avez alors armé votre bras au-dessus de votre tête
, rapporte la présidente du tribunal. Je voulais juste jouer avec lui
, répond le prévenu.
Deux adolescents, de 13 et 14 ans, voient le jeune homme agir et décident d’intervenir. Ils le font fuir vers le passage souterrain et le suivent pour lui demander des explications. Le vagabond s’énerve, agrippe l’un des ados par le col, lui donne un coup de pied et assène un coup de poing à son ami. Des témoins interviennent. Une jeune fille est plaquée contre un mur. Finalement, les gendarmes interpellent l’homme. Très agité, il les insulte et se rebelle lors de sa garde à vue.
Le jeune homme qui s’avance dans le box, au tribunal de Rennes (Ille-et-Vilaine) vendredi 19 décembre 2025, a 26 ans, mais il pourrait tout aussi bien en avoir dix de moins. . Placé en détention provisoire depuis un mois et demi, il alterne les excuses en français et en arabe, aidé d’un interprète.
Le 5 novembre 2025, vers 15 h, ce jeune homme provoque agitation et inquiétudes à la gare ferroviaire de Redon. Il se promène muni d’un bâton en bois et se dirige vers un enfant de 2 ans.
Deux adolescents, de 13 et 14 ans, voient le jeune homme agir et décident d’intervenir. Ils le font fuir vers le passage souterrain et le suivent pour lui demander des explications. Le vagabond s’énerve, agrippe l’un des ados par le col, lui donne un coup de pied et assène un coup de poing à son ami. Des témoins interviennent. Une jeune fille est plaquée contre un mur. Finalement, les gendarmes interpellent l’homme. Très agité, il les insulte et se rebelle lors de sa garde à vue.
Le ministère public requiert dix-huit mois de prison.
Le tribunal a condamné le prévenu à douze mois de prison ferme. Koussaiela Kourtaa reste en prison.







