À la gare du Nord de Paris, un incident inquiétant s’est produit lorsque Zalatgul B., un réfugié afghan de 31 ans, a été appréhendé après avoir menacé des passants avec une paire de ciseaux, tout en proférant des insultes envers la France. Ce fait, survenu le 28 septembre 2025, met en lumière une réalité préoccupante de la violence urbaine.
Selon les témoignages recueillis, cet individu errait dans les environs, renversant des objets et criant des propos agressifs. Il aurait également déclaré des phrases telles que : “Nique les Français !” ou “Nique la France !”, selon différentes sources. Des agents de la sécurité, en service et hors service, ont été témoins de la scène et ont décidé d’intervenir, conduisant à son arrestation.
Les enquêtes révèlent que Zalatgul B. ne novice pas à la récidive. En état de récidive légale, il a déjà été condamné pour des comportements similaires, augmentant ainsi les craintes quant à sa gestion. Les policiers ont retrouvé les ciseaux en sa possession, ajoutant une dimension sérieuse à son agression.
[…]La scène a glacé les passants dans la matinée du mardi 9 décembre. Aux abords de la gare du Nord, dans le Xe arrondissement de Paris, un homme a agressé deux femmes au hasard et sans raison apparente, les frappant violemment au visage.
Tout commence vers 8h35, au 129 rue du Faubourg Saint-Martin. Une femme marche tranquillement dans la rue lorsqu’elle est soudainement frappée au visage par un homme, « visiblement sans-abri », nous indique une source policière.
Sous la violence du coup, elle chute au sol. Sonnée, elle parvient à se réfugier dans un café à proximité où le gérant, témoin de la scène, lui porte immédiatement assistance. Il alerte les sapeurs-pompiers et la police. La victime présente deux hématomes près de l’œil droit. Les pompiers la prennent en charge et la transportent à l’hôpital Lariboisière. Selon une source proche du dossier, ses jours ne sont pas en danger.
[…]Le suspect interpellé a été conduit dans les locaux de la Sûreté régionale des transports où il a été placé en garde à vue. Particularité du dossier : la notification de ses droits a été différée dans l’attente d’un interprète en langue afghane. « L’exploitation de la vidéosurveillance a confirmé les coups sur la première victime, sans couvrir la deuxième partie de la scène », a précisé le parquet de Paris. L’enquête a été confiée à la Sûreté régionale des transports, poursuit l’institution.
