25/11/2025
Le détenu narcotrafiquant de Vendin-le-Vieil est rentré à la prison ce soir à 21h, il a expliqué que son train avait eu du retard. La scène est assez surprenante : au moment d’entrer dans la prison, les agents pénitentiaires mettent quelques minutes avant de venir ouvrir @BFMTV pic.twitter.com/9rKt3b0xfk
— Marie Gentric (@MarieGentric) November 24, 2025
24/11/2025
Vendin-le-Vieil : la permission d’Ouaihid Ben Faïza fait polémique au sein de l’administration pénitentiaire. Portrait d'une famille de criminels.
— Fdesouche.com est une revue de presse (@F_Desouche) November 24, 2025
Selon les procédures judiciaires, plusieurs épisodes marquants jalonnent cette histoire familiale : un jeune frère de 13 ans qui… pic.twitter.com/8pqHNAW5r5
23/11/2025
« Inventez la guillotine,tuez-moi, je n’ai plus de force. Avec les peines que j’ai déjà, j’en ai pour vingt-cinq ans… Tout ça parce que je m’appelle Ben Faiza… » supplie Ouaihid Ben Faiza devant le tribunal, lorsqu’il entend réclamer contre lui huit ans de prison pour sa spectaculaire évasion, en juin 2014, de l’hôpital Delafontaine de Saint-Denis.
22/11/25
Selon les éléments communiqués le 22 novembre 2025, l’UFAP UNSa Justice dénonce la permission de sortie accordée à un détenu du QLCO de Vendin-le-Vieil, estimant qu’elle est « totalement déconnectée des exigences, des réalités et des contraintes » imposées aux personnels pénitentiaires. Le syndicat souligne que cette décision intervient alors que le QLCO vient « à peine [d’être] ouvert ».
Les représentants affirment que cette permission « décrédibilise le régime QLCO » et relèvent « l’absurdité d’un système qui ne sait plus ce qu’il veut ». Le texte évoque « une contradiction […] profondément irrespectueuse envers celles et ceux qui assurent la sécurité au quotidien » et ajoute : « On ne peut pas imposer un régime ultra-renforcé, dire publiquement qu’on y incarcère les plus grands narco-trafiquants du pays et voir s’appliquer des décisions qui contredisent cet ensemble frontalement. » L’UFAP UNSa parle d’une mesure « incohérente, dangereuse et révélatrice d’un système complètement déstructuré, UN AFFRONT A LA SECURITE ! ».
En conclusion, le syndicat alerte sur les « risques concrets » pour la sécurité interne de l’établissement et s’interroge : « quels messages peuvent être envoyés vers l’extérieur par un individu bénéficiant d’une telle liberté ponctuelle ? ». L’UFAP UNSa Justice affirme qu’elle « refuse de cautionner de telles absurdités ».
Source : UFAP UNSa Justice






