Selon les éléments communiqués le 22 novembre 2025, l’UFAP UNSa Justice dénonce la permission de sortie accordée à un détenu du QLCO de Vendin-le-Vieil, estimant qu’elle est « totalement déconnectée des exigences, des réalités et des contraintes » imposées aux personnels pénitentiaires. Le syndicat souligne que cette décision intervient alors que le QLCO vient « à peine [d’être] ouvert ».
Les représentants affirment que cette permission « décrédibilise le régime QLCO » et relèvent « l’absurdité d’un système qui ne sait plus ce qu’il veut ». Le texte évoque « une contradiction […] profondément irrespectueuse envers celles et ceux qui assurent la sécurité au quotidien » et ajoute : « On ne peut pas imposer un régime ultra-renforcé, dire publiquement qu’on y incarcère les plus grands narco-trafiquants du pays et voir s’appliquer des décisions qui contredisent cet ensemble frontalement. » L’UFAP UNSa parle d’une mesure « incohérente, dangereuse et révélatrice d’un système complètement déstructuré, UN AFFRONT A LA SECURITE ! ».
En conclusion, le syndicat alerte sur les « risques concrets » pour la sécurité interne de l’établissement et s’interroge : « quels messages peuvent être envoyés vers l’extérieur par un individu bénéficiant d’une telle liberté ponctuelle ? ». L’UFAP UNSa Justice affirme qu’elle « refuse de cautionner de telles absurdités ».
Source : UFAP UNSa Justice








