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La Penne-sur-Huveaune (13) : “Elle avait alors 83 ans et venait de perdre l’amour de sa vie deux mois auparavant” — Un migrant clandestin sous OQTF guinéen multirécidiviste condamné à 12 ans pour le viol d’une grand-mère chez elle (MàJ)

07/10/25

Odette, 85 ans aujourd’hui, vivait paisiblement dans son pavillon de La Penne-sur-Huveaune, où elle avait passé cinquante ans aux côtés de son mari défunt. Le 17 février 2024, ce havre de souvenirs s’est transformé en cauchemar : en plein après-midi, elle est violée chez elle, lors d’un cambriolage. L’agresseur repart avec quelques bibelots, mais surtout, comme l’a résumé son avocat, “avec la dignité de cette mamie”. Deux jours de procès se sont tenus, les 6 et 7 octobre 2025, devant la Cour criminelle départementale des Bouches-du-Rhône.

“Elle avait alors 83 ans et venait de perdre l’amour de sa vie deux mois auparavant”, rappelle Me Pierre-Henri Bovis, représentant des huit parties civiles. L’homme, entré chez elle en plein jour, la laisse brisée. Odette, marquée “par la honte d’avoir été salie, piétinant à jamais la mémoire de son amour de toujours”, a supplié le président de la cour de récupérer sa couverture Claude François, placée sous scellés depuis les faits — dernier vestige d’une vie simple, désormais souillée.

L’avocat dénonce une “défaillance dans la chaîne administrative” qui aurait permis à ce drame de se produire. Dans ce quartier pavillonnaire autrefois tranquille, la peur s’est installée. Les habitants murmurent qu’ici, plus personne n’est à l’abri — et qu’Odette, cette grand-mère que tous connaissaient, symbolise désormais “une France où même les anciens doivent se barricader pour survivre”.

La Provence

21/02/24

(Merci à Tom.)


20/02/24

Il a déjà été condamné en janvier pour cambriolage. (…)

France 3 Régions


19/02/24


18/02/24

Une octogénaire a été violée à son domicile, à La Penne-sur-Huveaune, (6600 habitants) près d’Aubagne (Bouches-du-Rhône), par un homme qui s’est introduit chez elle, en plein après-midi. L’auteur est en fuite et la police judiciaire est saisie.

Il était environ 14 heures lorsqu’un homme s’est introduit dans le domicile de cette retraitée, en passant par une porte restée ouverte. “L’agresseur lui a demandé où elle cachait ses bijoux et son argent, mais elle n’en avait pas“, confie une source proche de l’enquête. Après l’avoir fouillée, l’homme l’a poussée sur son lit avant de lui imposer un rapport sexuel.

L’auteur a ensuite dérobé le téléphone de l’octogénaire avant de quitter les lieux. La victime, sous le choc, s’est réfugiée chez l’une de ses voisines, qui a donné l’alerte.

Actu 17

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