Le procureur évoque un « modus operandi bien établi », avec une cargaison toujours plus lourde au fil de convois passant inaperçus, les véhicules diplomatiques n’étant « généralement pas contrôlés ».
Occupant le poste de deuxième secrétaire de l’ambassade de la République démocratique du Congo (RDC) au Benelux, le quadragénaire a raconté se rendre à Sofia pour faire des emplettes pour son épouse et ne pas savoir ce qui se trouvait dans les bagages.