Selon le Daily Mail, une enquête révèle que 312 migrants logés dans des hôtels financés par le contribuable britannique ont été accusés de 708 infractions pénales en trois ans. Les faits incluent :
- 18 viols,
- 5 tentatives de viol,
- 35 agressions sexuelles,
- 51 vols,
- 89 agressions, dont 27 contre des policiers ou secouristes,
- 43 infractions liées à la drogue,
- 18 cambriolages,
- 16 vols avec violence.
Ces migrants vivaient dans 70 hôtels parmi les 220 actuellement utilisés pour l’hébergement d’environ 32 000 demandeurs d’asile, pour un coût annuel de 3 milliards de livres.
Parmi les cas les plus marquants :
- Ayman Adam, soudanais de 25 ans, a été condamné à 7 ans de prison pour avoir tenté de violer et étranglé une femme dans les toilettes d’une boîte de nuit à Wakefield.
- À Oxford, Khaliz Alshimery, 47 ans, a été condamné à 12 ans de prison pour viol, agression sexuelle par pénétration et agressions multiples, après avoir traîné une étudiante dans un cimetière.
- Rabie Knissi, logé à Portsmouth, a été condamné à 10 ans pour une tentative de viol brutale dans la rue.
À Londres, un migrant logé à Primrose Hill a agressé trois policiers mais a écopé d’une simple peine de travaux d’intérêt général.
Les quartiers de Bournemouth sont également touchés :
- 46 charges à l’encontre de résidents du Roundhouse Hotel,
- 45 au Britannia Hotel,
- 25 au Chine Hotel, doté d’une piscine.
Le gouvernement britannique ne publie pas de statistiques sur la criminalité des demandeurs d’asile, et les documents judiciaires sont souvent incomplets, ce qui suggère que les chiffres révélés ne sont qu’une partie de la réalité.
Le Shadow Home Secretary, Chris Philp, appelle à des expulsions immédiates sans procédure judiciaire, tandis que Robert Jenrick, ministre de l’opposition à la Justice, demande que la crise des petits bateaux soit traitée comme une urgence de sécurité nationale.