À peine sorti du tribunal après avoir été condamné pour outrage, rébellion et violences sur des agents municipaux, le sans-abri alcoolique réitère le soir-même en frappant cette fois un homme à la tête avant de dégrader le véhicule de la police municipale.
Le lundi 30 juin, au tribunal, F. J. avait juré qu’on ne l’y reprendrait plus après avoir été condamné pour menaces de mort et violences sur des policiers municipaux. « J’ai eu un comportement inadmissible » s’était-il excusé après avoir bénéficié de la mansuétude du tribunal (70 heures de travail d’intérêt général) eu égard à ses efforts de soins.