25/06/2025
Un épisode de plus. Un influenceur algérien condamné et écroué en janvier pour apologie du terrorisme, a été interpellé lundi au centre de rétention administrative (CRA) du Mesnil-Amelot (Seine-et-Marne) pour avoir à nouveau commis ce délit en détention.
D’après cette source, Mahdi B. continuait à faire l’apologie du terrorisme depuis sa cellule de la prison de Villepinte (Seine-Saint-Denis). Dans ses vidéos, publiées depuis le compte TikTok de son frère, l’utilisation de kalachnikov aurait été mentionnée. Son frère, âgé de 26 ans, a également été placé en garde à vue.
En janvier, l’homme de 29 ans avait été condamné à huit mois de prison ferme au tribunal judiciaire de Bobigny et écroué. Il avait mis en ligne une vidéo faisant référence, en arabe, au terrorisme qui va « revenir » ou à la « pose d’une bombe à La Défense », avait relaté une source policière au moment des faits.
[…]16/01/2025
Le 9 janvier, la SDPJ du 93 a été saisie pour des faits d’apologie du terrorisme commis sur les réseaux sociaux suite à un signalement de la plateforme Pharos à propos d’une vidéo où l’influenceur algérien Mahdi B. se vantait, en langue arabe, de vouloir commettre des actions…
— Bruno Retailleau (@BrunoRetailleau) January 16, 2025
Cet influenceur algérien de 29 ans, interpellé ce lundi 13 janvier, a été condamné en comparution immédiate à 8 mois de prison ferme et écroué. La Préfecture de Seine-Saint-Denis lui a délivré une OQTF avec placement en CRA.
Bondy (93) : l’influenceur algérien Mahdi Berrais interpellé pour apologie du terrorisme, condamné et prochainement expulsé https://t.co/NrYOLt2yhh pic.twitter.com/dW10g7hU2h
— Fdesouche.com est une revue de presse (@F_Desouche) January 16, 2025
Les propos de cet homme, né en Algérie et âgé de 29 ans, avaient signalés sur la plateforme Pharos le 9 janvier à la suite de la dénonciation, la veille, sur le réseau X, du lanceur d’alerte et activiste Chawki Benzehra. Dans une vidéo en langue arabe, l’influenceur prononçait des phrases, telles que « le terrorisme va revenir », « Allah Akbar », « je descends une bombe à la Défense » et « je descends au pays et j’attrape, j’égorge », précise une source policière.
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