« Ils foutent le bordel, en mode ils sont chez eux. Venez, on choque les Londoniens » : un internaute visiblement chafouin de l’arrivée d’étrangers dans la capitale pour la Fête de la Musique. #FeteDeLaMusique2025 https://t.co/YkZOBU5zUz pic.twitter.com/XCpaTOSvsG
— Fdesouche.com est une revue de presse (@F_Desouche) June 21, 2025
« Wallah, sur le Coran, on est chez nous, les Londoniens. » : alors que de nombreux Britanniques sont descendus en France pour la Fête de la Musique 2025, une altercation a éclaté en pleine rue à Paris avec des Français pic.twitter.com/SV4JexZxCy
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Influencés par des vidéos sur TikTok vantant l’événement et la convivialité du rendez-vous, nombre de Britanniques, et notamment les Londoniens, ont franchi la Manche pour chanter et danser ce week-end à Paris. pic.twitter.com/xOrSlfvrug
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Influencés par des vidéos sur TikTok vantant l’événement et la convivialité du rendez-vous, nombre de Britanniques ont franchi la Manche pour chanter et danser ce week-end à Paris.
Les Français ne seront plus les seuls à faire vibrer les rues pour la Fête de la musique cette année. Nos voisins britanniques, eux aussi, comptent bien être de la partie ce samedi soir et cela fait déjà plusieurs mois qu’ils s’y préparent. Devenue un véritable phénomène viral sur les réseaux sociaux, la manifestation et ses milliers de concerts gratuits restent profondément ancrés dans la culture française. Créée en 1982 par Jack Lang, elle incarne une tradition de convivialité et a réuni près de 10 millions de participants l’an dernier.
Mais cette édition est portée par une nouvelle dynamique : l’engouement venu d’outre-Manche. Si l’origine exacte de cet emballement reste floue, une chose est sûre : TikTok y est pour beaucoup. Le hashtag Fête de la musique dépasse sur la plate-forme les 45 000 vidéos. On y voit des influenceurs britanniques peaufiner leurs looks, répéter les classiques du rap français ou demander les meilleurs plans de soirées à Paris. Ils apprennent même les rudiments de la langue française pour mieux se fondre, allant du « wesh » au « ça dit quoi ».
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