Selon le Télégramme, la réputation sulfureuse de l’université Rennes 2 — régulièrement associée aux mouvements sociaux et à une image caricaturale de bastion gauchiste — pourrait impacter négativement les inscriptions. La présidence de l’établissement s’en inquiète, bien qu’aucune donnée chiffrée ne permette pour l’instant d’établir un lien formel. Une citation emblématique illustre ce malaise : « Ah, t’as étudié à Rennes 2 ? T’as fait licence sarouel ou punk à chien ? » Des familles hésiteraient désormais à y inscrire leurs enfants, malgré l’existence de filières d’excellence peu visibles dans le tumulte médiatique.
