Déjà condamné pour de nombreux faits en lien avec le trafic de stupéfiants, il est accusé d’être à l’origine d’une évasion, aussi insoupçonnée qu’incompréhensible…
En mars 2024, alors qu’il est incarcéré, le jeune détenu bénéficie d’un aménagement de sa peine pour les derniers mois qui lui restent à faire. En l’espèce, un placement extérieur dans un appartement, soumis à un contrôle judiciaire restreint. Mais à peine quelques jours après son installation, les services pénitentiaires n’ont soudain plus de nouvelles du jeune homme. Plus tard, il est interpellé une première fois en possession de drogue à Paris, où il était venu se réfugier. (…)
Il confie « avoir fui » un individu, à qui il doit une somme d’argent importante à Brest, pour sa sécurité. Il rentre finalement à Brest, où il poursuit sa cavale… chez sa mère. Il y sera interpellé une semaine plus tard. (…)
De nouveau condamné par le tribunal brestois, il devra rester en prison six mois de plus. Cette fois, sans aucun aménagement de peine.