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« J’ai des enfants à disposition » : révélations sur le pédocriminel LFI Pierre-Alain Cottineau. Il a obtenu son agrément d’assistant familial grâce à son engagement à gauche alors que déjà signalé depuis l’âge de 15 ans (MàJ)

09/07/25

Avertissement : Cet article contient des descriptions de scènes extrêmement violentes pouvant choquer les lecteurs.

Selon Le Parisien , en septembre 2024, une vidéo découverte sur le Darknet par la police néerlandaise montre un homme abusant d’une fillette de trois ou quatre ans, visiblement handicapée, portant une sonde gastrique. L’Office mineurs (OFMIN), basé en région parisienne, est immédiatement saisi. Une circulaire de l’Éducation nationale, datée du 12 septembre 2024, demande aux écoles maternelles d’identifier l’enfant.

Huit jours plus tard, une directrice d’école maternelle de Couffé, en Loire-Atlantique, reconnaît la fillette, placée chez Cottineau, un père célibataire et assistant familial agréé depuis décembre 2023. Ancien aide-soignant, il avait obtenu son agrément après une formation et un casier judiciaire vierge. Identifié par les enquêteurs, il est arrêté à son retour de Tunisie, où il s’était rendu précipitamment, et mis en examen pour viols avec actes de torture ou de barbarie.

En garde à vue, Cottineau se montre arrogant, semblant indifférent à la perspective d’une longue détention. Les investigations révèlent l’ampleur de ses agissements. Il aurait administré une boucle Telegram diffusant des vidéos d’une violence inouïe, impliquant des bébés et des jeunes enfants, dont un garçon de cinq mois et un autre de deux ou trois ans, victimes de viols collectifs.

Des détails matériels, comme une housse de couette ou un bracelet, relient ces scènes à son domicile d’Oudon. Deux complices présumés, Guillaume (37 ans) et Frédéric (38 ans), sont identifiés grâce à des données téléphoniques. Ils auraient séjourné chez Cottineau en août et septembre 2024, participant aux abus, notamment lors d’une sortie au Burger King pour l’anniversaire d’un enfant de trois ans. Ce dernier, de retour dans son foyer, présentait des signes de maltraitance et tenait des propos troublants.Les enquêteurs découvrent que Cottineau aurait drogué un enfant avec du Xanax, des somnifères et du Poppers pour faciliter les abus. Il aurait attiré des pédocriminels via un forum du Darknet en promettant l’accès à des enfants, sans exiger de contrepartie financière.

Outre Guillaume et Frédéric, un troisième homme, Kevin (32 ans), et un Belge, Alain (53 ans), déjà condamné pour viol sur mineur, sont interpellés et mis en examen en février 2025.Cottineau, militant associatif et ancien candidat LFI, présentait une façade respectable, s’engageant pour les droits LGBTQ+ et la prévention des violences conjugales. Pourtant, son passé soulève des questions : sa mère, assistante maternelle, a signalé en 2007 ou 2008 une agression sexuelle qu’il aurait commise à 15 ans sur un enfant de quatre ans, sans suites judiciaires. Malgré des demandes, son avocat n’a pas commenté ces accusations.L’enquête, toujours en cours, continue d’explorer la duplicité de cet homme et l’étendue de son réseau, laissant les enquêteurs face à un profil aussi singulier qu’inquiétant.

27/04/25

Dans le même temps, il a pris le pouvoir à la tête de l’Esprit Arc-en-ciel (Esac), association de défense des personnes LGBTQ +. « Arrivé comme simple adhérent en 2018, Pierre-Alain a réussi à évincer le président quelques mois plus tard, se souvient l’un des membres. Il a poussé de bonnes idées, en menant par exemple des campagnes de sensibilisation dans les lycées du pays d’Ancenis et en attirant de nouveaux adhérents. » C’est lui aussi qui lance la distribution de sacs à pain sur lesquels sont imprimés des « violentomètres » pour éveiller les consciences sur la question des violences conjugales. « Mais sa manière de diriger était très verticale, nuance ce membre de l’Esac. Il ne laissait aucune place pour la contradiction et pouvait se montrer cassant, cela en devenait pénible. »
(…) Fin 2023, contre toute attente, Pierre-Alain Cottineau se retire de la présidence de l’association. Après avoir suivi une soixantaine d’heures de formation et montré patte blanche aux services sociaux du département de la Loire-Atlantique qui ont étudié son dossier, le jeune papa obtient son agrément d’assistant familial. 

Le Parisien


26/02/25

Selon Ouest-France, le groupe local de La France Insoumise (LFI) du pays d’Ancenis a dénoncé les « provocations indignes » et « insinuations écœurantes » à son encontre après la mise en examen de Pierre-Alain Cottineau, ancien militant, pour viols avec actes de torture ou de barbarie sur une enfant handicapée de 4 ans. L’homme est également soupçonné d’avoir été impliqué dans un réseau de pédocriminalité.

Exclu du parti dès le 2 octobre 2024, Cottineau avait été un militant très actif et président de l’association LGBTQIA+ locale, l’Esac, entre 2018 et 2023. Depuis la révélation de l’affaire, LFI affirme être la cible d’un cyberharcèlement constant et dénonce une « tentative d’instrumentalisation » visant à ternir l’image du parti. L’association Esac, elle aussi touchée, dit avoir frôlé la disparition.

21/02/25

Selon Le Parisien, Un réseau inédit de pédocriminels a été démantelé en France par l’Office mineurs (Ofmin). Cinq suspects, dont un assistant familial de 32 ans de Loire-Atlantique, Pierre-Alain C., ont été interpellés en février 2025. Ils sont accusés de viols, tortures et traite d’enfants, parfois très jeunes, filmés et diffusés sur le Darknet. L’enquête, débutée en 2024, a révélé des sévices d’une violence exceptionnelle sur au moins quatre victimes de moins de cinq ans, dont une fillette handicapée confiée au principal suspect. Les investigations se poursuivent pour identifier d’autres victimes potentielles.

02/10/24

Selon les informations de Ouest-France, l’assistant familial de Loire-Atlantique soupçonné d’avoir violé une enfant handicapée de 4 ans est une figure bien connue du monde politique et associatif dans le pays d’Ancenis. Pierre-Alain Cottineau avait notamment été candidat aux élections départementales de 2021 sous l’étiquette LFI.

Ouest France

30/09/24

Cet homme de 32 ans a été incarcéré, ce mercredi 25 septembre, après avoir reconnu les faits. Les investigations se poursuivent pour identifier d’autres victimes.

La maison de l’horreur. Selon les informations de BFMTV, un assistant familial en charge d’une enfant de 4 ans, médicalisée à son domicile, a été mis en examen, ce mercredi 25 septembre, des chefs de “viol avec actes de torture et barbarie sur mineur de 15 ans par personne ayant autorité” et “agressions sexuelles” par un juge d’instruction de Nantes (Loire-Atlantique).

Cet homme a ensuite été placé en détention provisoire à la maison d’arrêt de Nantes-Carquefou. L’enfant, qui souffre notamment d’un retard de développement, a été prise en charge par les urgences pédiatriques de la ville.

Très rapidement localisé en Tunisie, il a fini par regagner le territoire français, avant d’être interpellé à sa descente d’avion, ce lundi 23 septembre. Placé en garde à vue dans les locaux du service interdépartemental de la police judiciaire (SIPJ) de Nantes, il a reconnu avoir abusé de cette petite fille de 4 ans, avant de diffuser des vidéos de ses actes à destination de réseaux pédophiles en France et à l’étranger.

www.bfmtv.com

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