«Aroace», «fictosexuel», «personne trans non-binaire», «demi-romantique»… Ces orientations sexuelles ou identités de genre sont souvent méconnues. Pourtant, loin d’être une coquetterie, «l’identité est la quête de se comprendre soi-même, l’autre, dans une période de sensations troublantes, de désirs bouleversants, par rapport aux pratiques normales et normées hétéro», analyse Noémie Marignier, maîtresse de conférences en sciences du langage à Paris 3 Sorbonne Nouvelle et spécialiste des discours sur le sexe, le genre et les sexualités. (…)

