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Bilan des violences urbaines à l’issue de la finale de la Coupe du monde : Tirs de mortiers, pompiers et policiers attaqués, magasins pillés, poubelles et conteneurs incendiés, etc… (MàJ)

20/12/22


19/12/22

Un total de 227 personnes ont été interpellées en France, dont 47 à Paris et dans son agglomération, lors des heurts à l’issue de la finale de la Coupe du monde remportée dimanche par l’Argentine contre la France, a annoncé lundi le ministère de l’Intérieur. Une quarantaine de forces de l’ordre dont 32 CRS ont été blessées, selon la source policière.

Actu 17


Paris :

Lyon :

Très vite après le dernier tir au but victorieux de l’Argentine en finale de la Coupe du Monde face à la France, des violences urbaines se sont produites en centre-ville de Lyon.

Dans le secteur de la place Bellecour, comme suite à la demi-finale France-Maroc, des dizaines de jeunes ont incendié des poubelles, ont cassé du mobilier urbain et ont réalisé des tirs de mortiers d’artifice.

Lyon Mag

Nice :

Après la défaite de l’équipe de France en finale de Coupe du monde, des affrontements ont eu lieu sur l’avenue Jean-Médecin à Nice entre les forces de l’ordre et plusieurs groupes.

Défaite amère et soirée au goût moutarde : à Nice (Alpes-Maritimes), des affrontements ont eu lieu entre les forces de l’ordre, mobilisées en nombre, et plusieurs groupes qui tentent d’en découdre aux alentours et sur l’avenue Jean-Médecin, dimanche 18 décembre 2022.

Actu.fr

Grenoble :

Incidents d’après match : Tirs de mortiers sur la police, poubelles incendiées

Le Dauphiné

Boulogne-sur-Mer :

Au coup de sifflet de la finale de la Coupe du monde, des scènes de violences ont eu lieu sur la place Dalton à Boulogne-sur-Mer. La police a fait usage de gaz lacrymogènes, et certains agents ont sorti les lanceurs de balles de défense. Un automobiliste, qui a menacé la police avec sa voiture, a aussi été interpellé.

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Sitôt le coup de sifflet final, des bruits de feux d’artifice se font entendre dans l’espace public. Sur la place Dalton, de nombreux Boulonnais se tiennent là, hébétés par le scénario de la rencontre. Ils s’étreignent, se consolent. Pleurent, parfois. Se désintéressent des feux d’artifice qui sont tirés au croisement de la rue Thiers et de la Grande Rue. À cet instant, l’ambiance est triste et on se dit que le groupe de jeunes qui propulse les feux d’artifice dans le ciel à l’aide d’un mortier tente d’égayer les cœurs bleus meurtris par la défaite.

(…) La VDN

Bordeaux :

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