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Agde (34) : Evelyne K., 77 ans, retrouvée décapitée, le suspect est un ancien boxeur pro et sur une liste FN, il était connu et suivi pour des problèmes psychologiques (MàJ : il a aussi figuré sur une liste UMP)

15/10/2021

L’homme soupçonné d’avoir décapité une retraitée à Agde (Hérault) mercredi soir est un ancien boxeur qui souffre manifestement de troubles psychologiques selon ses voisins à Vias.

Dans son quartier, les voisins sont sidérés. Jean-Michel habite depuis le début 2020 un pavillon HLM, dans une zone résidentielle appartenant à l’Office HLM Sète Habitat. Il aurait été boxeur professionnel.

Il avait raconté ses soucis de santé, un AVC qui aurait laissé des traces. Et d’ailleurs ce quinquagénaire se rendait régulièrement dans un établissement spécialisé à Lamalou-les-Bains. Reconnu travailleur handicapé, cet homme sans emploi d’après le voisinage vivait d’allocation et de petits boulots. Ses voisins le décrivent comme un homme distrait, poli et qui souffre de troubles de la mémoire.

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Cet homme est donc soupçonné d’avoir tué la retraitée de 77 ans chez elle à Agde, de l’avoir décapitée. Il la connaissait selon le procureur de la République de Béziers et, semble-t-il, effectuait des petits travaux chez elle. Il aurait été identifié grâce à la vidéo placée au domicile de la victime notamment. 

France Bleu

Selon nos informations, le suspect placé en garde à vue dans l’enquête sur la mort d’une septuagénaire à Agde, est un ancien boxeur connu pour des troubles neurologiques. Il était également candidat sur une liste du Front national, en 2015, dans le Nord.

BFMTV


14/10/2021

Un homme suspecté d’avoir tué et décapité une septuagénaire à Agde (Hérault) a été interpellé ce jeudi soir un peu avant 21h dans les environs d’Agde, a appris BFMTV.

Il a été placé en garde à vue.

BFMTV


L’agresseur d’Evelyne K., 77 ans, aurait volé la carte bleue de sa victime et effectué des retraits pour un montant de 1000 euros.

Info M6


“Elle n’aurait jamais ouvert à n’importe qui”

Dans le quartier, on parle de règlement de compte, d’extorsion. “Vous savez, explique un voisin qui a vu sur la maison, c’est une famille de retraitée qui avait des biens sur Agde. Ils sont venus ici prendre leur retraite. Évelyne avait été enseignante, Alain avait une société de communication. Je pense qu’ils faisaient des envieux. J’ai entendu dire qu’il n’y avait pas eu d’effractions. Connaissant Mme [K], je pense qu’elle a ouvert à celui qui lui a fait cette horreur. Je la connaissais comme une personne méfiante. Elle n’aurait jamais ouvert à n’importe qui. Je ne pense pas me tromper.”

Midi Libre

Aucune trace d’effraction n’a été constatée :


La victime est une retraitée de l’Education nationale, qui n’avait jamais enseigné dans notre région. Néanmoins, les policiers écartent pour l’instant tout lien avec un acte terroriste.

“Il n’y a aucun élément qui permet d’affirmer que ce soit un acte terroriste. Pas de revendication, pas d’inscription sur place. Pour l’instant, nous sommes sur une enquête de droit commun” indique à Midi Libre une source proche de l’enquête.  

Le crime s’est déroulé sans témoins. Aucune trace d’effraction n’a été relevée, ce qui peut laisser penser que la victime connaissait son agresseur. D’autant que selon les voisins, la retraitée était décrite comme “une personne méfiante”.

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La police a été alertée ce mercredi soir par le fils de la victime qui réside dans l’Essone, qui a donné l’alerte car il n’arrivait à joindre sa mère, à qui il téléphonait tous les soirs. La maison de la septuagénaire étant sous surveillance vidéo, son fils a donc pu voir un grand désordre dans le pavillon et ce qui ressemblait à un corps au sol.

Midi Libre


Evelyne K., 77 ans a été retrouvée morte à son domicile à Agde, dans l’Hérault, mercredi soir. La septuagénaire a été décapitée, la tête était posée sur la table du salon.

La victime est une institutrice à la retraite, mère de deux enfants. Elle était totalement inconnue des services de police, et aucune plainte éventuelle de la victime n’avait été enregistrée par le commissariat d’Agde ces derniers mois.

Pour l’heure, il est prématuré et impossible d’établir un lien entre cet effroyable assassinat et l’anniversaire de la décapitation du professeur Samuel Paty, ce vendredi 15 octobre 2021. Et d’établir s’il s’agit d’un geste d’un déséquilibré.

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Actu.fr / BFMTV

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