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15/04/21

Hamza Djouhoud, 33 ans, a été assassiné lundi 12 avril à Paris. Il est mort sous le statut de mis en examen pour assassinat de Saufiane Hammami, en 2014, à Aix-en-Provence. Il l’avait renversé volontairement puis l’avait achevé en lui roulant dessus à plusieurs reprises. En cavale en Espagne, il avait été rattrapé par la Guardia civil et rapatrié en France. Placé en détention provisoire aux Baumettes à Marseille, en 2017, il a été libéré un an plus tard à cause d’une erreur de procédure. Au moment des formalités pour le renouvellement de son incarcération, le juge des libertés et de la détention n’avait pas été saisi dans les délais. Le parquet d’Aix-en-Provence, constatant la carence, n’avait eu d’autre choix que de le remettre en liberté.

Le Point


13/04/21

L’autre élément qui accrédite la thèse du règlement de compte tient au profil de la victime tuée. Cet homme de 33 ans était bien connu des services de polices, en particulier pour pour meurtre en bande organisée, association de malfaiteurs et des faits de trafic de stupéfiants.

“Il ressort des premières investigations que l’homme décédé”, “défavorablement connu par la justice”, “était visé par l’auteur des coups de feu”, a confirmé le parquet de Paris.

BFM

Assassiné lundi à Paris, Hamza Djouhoud., 33 ans, originaire de Vitrolles, était très défavorablement connu des services de police.

La fratrie Djouhoud, très défavorablement connue de nos services, anime le trafic de stupéfiants en région marseillaise ainsi que la funeste chronique des règlements de comptes qui ensanglantent le sud de la France depuis de nombreuses années. » Alors que la police judiciaire, saisie de l’homicide perpétré lundi 12 avril contre Hamza Djouhoud, 33 ans, dans le 16e arrondissement de Paris, privilégie l’hypothèse d’un règlement de comptes, cet extrait d’une note de la police judiciaire diffusée en 2017 avait été rédigé à l’occasion de la procédure sur un trafic de stupéfiants entre la Corse et le continent.

Hamza Djouhoud avait été mis nommément en cause dans deux homicides. Le dernier fait connu lui a valu d’être incarcéré à la prison des Baumettes en 2017. 

L’auteur de l’homicide de lundi était toujours en fuite. Dans son acte de règlement de comptes, il a grièvement blessé Khedidja R., 33 ans, une jeune femme agent de sécurité, toujours hospitalisée à l’hôpital Georges-Pompidou de Paris.

Le Point


12/04/21



Une personne a été tuée et une autre blessée ce lundi en début d’après-midi après des coups de feu tirés devant l’hôpital Henry-Dunant, dans le 16e arrondissement.

Un homme a été tué par balles ce lundi lundi en début d’après-midi devant l’hôpital Henry-Dunant, a appris BFMTV de source proche de l’enquête. Une femme, qui est agent de sécurité de l’hôpital, a également été blessée.

Le tireur a pu prendre la fuite en scooter. La police judiciaire a été saisie.

BFMTV



BFMTV

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