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29/04/2021

Sur 260 retours d’identifications formelles de migrants « mineurs », 230 sont en réalité majeurs, soit 78,7 %

Disposant désormais d’une lecture plus fine du phénomène et de ses filières, la police parisienne poursuit un travail d’identification grâce à un dispositif innovant qui monte en puissance. Les empreintes des interpellés sont adressées, via la Direction centrale de la police judiciaire (DCPJ) et la Direction de la coopération internationale (DCI), aux autorités algériennes, marocaines et tunisiennes, qui consultent leurs fichiers. Paris reçoit les réponses dans un délai de quatre à huit semaines. Seize mois après la mise en place de ce protocole, le bilan que dévoile Le Figaro est très positif: sur 1162 demandes, la DSPAP a déjà reçu 330 retours d’identifications formelles, établissant qu’il s’agit en fait de majeurs dans 263 cas. Soit autant de multirécidivistes maintenant fichés qui, pendant trop longtemps, ont sévi en toute impunité. Et qui vont devoir rendre des comptes à des magistrats peu enclins à la clémence.

[…]

Le Figaro


16/03/2021

Sur 229 retours d’identifications formelles de migrants « mineurs », 216 sont en réalité majeurs, soit 96 %

À la recherche de nouvelles parades, la préfecture de police de Paris a mis en place un dispositif innovant. Les empreintes des interpellés sont adressées, via la Direction centrale de la police judiciaire (DCPJ) et la Direction de la coopération internationale (DCI), aux autorités algériennes, marocaines et tunisiennes, qui consultent leurs fichiers. Paris reçoit les réponses dans un délai de quatre à huit ­semaines.

Quinze mois après la mise en place de ce protocole, Le Figaro ­dévoile un bilan prometteur : sur 939 demandes, la DSPAP a déjà reçu 229 retours d’identifications formelles, établissant qu’il s’agit en fait de majeurs dans 216 cas. Ce qui fait 96 % de ces soi-disant mineurs étrangers qui n’ont en fait pas dit la vérité. Parmi les identifiés figurent 156 Algériens, 71 Marocains et 2 Tunisiens ; les autres sont d’« origine inconnue », peut-être libyens ou syriens.

[…]

Le Figaro


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