"Au Pakistan, le blasphème est le crime suprême.
Quand on veut se débarrasser d'une personne, il suffit de l'accuser de blasphème pour qu'elle soit lynchée et condamnée à mort.
Une foule haineuse se mobilise dès que ce mot fuse."Un commentaire @NBelloubet ?#JeSuisMila pic.twitter.com/9YZsh0NDtF
— Tancrède ن (@Tancrede_Crptrs) January 31, 2020
Vous pouvez aussi aimer
La France restitue un trésor archéologique aux autorités pakistanaises
Mardi 2 juillet, à l’ambassade du Pakistan à Paris, M. Rodolphe Gintz, directeur général des Douanes et droits indirects, a remis à M. Muhammad Amjad Aziz Qazi, chargé d’affaires de l’ambassade du...
Affaire Mila : Blanquer assure aider la lycéenne déscolarisée et menacée de mort et de viol
“L’objectif est de la rescolariser paisiblement.” Après la publication de sa vidéo où elle critique l’islam, Mila a dû quitter son établissement scolaire où ses attaques ont provoqué...
“Vous trouvez que c’est normal de laisser entrer en France ces gens qui viennent du Pakistan et qui mentent sur leur origine, leur passeport et leur âge ?” s’insurge Gérard Carreyrou
A partir de 39’10 et de 43’53
Après Toulouse, l’Institut du Monde arabe censure une œuvre de Mounir Fatmi
Conçue par le plasticien marocain Mounir Fatmi, une vidéo-hommage à l’écrivain Salman Rushdie est retirée de la prochaine exposition. Après Toulouse, Paris. Une semaine après avoir été censuré par les responsables...
UE : Démantèlement d’un réseau qui organisait des mariages blancs entre migrants pakistanais et citoyennes portugaises
Les autorités belges et le Service de l’Immigration et des Frontières portugais ont démantelé, avec le soutien actif d’Eurojust et d’Europol, un réseau criminel qui a recruté des dizaines de femmes...
Un Pakistanais émigrant en France devrait faire “un bond gigantesque de plusieurs siècles” selon Marc Menant qui compare l’islam radical à “une sorte de lèpre” sur la France
A partir de 33′ Marc Menant au sujet des migrants pakistanais : « il faut qu’ils comprennent ce qu’est une république, ça leur ferait faire un bond gigantesque de plusieurs siècles. […] On laisse une sorte...