Les clandestins haïtiens seraient au minimum 500.000, dont au moins 250.000 Dominicains d’origine haïtienne sans-papiers. La frontière est une passoire. « Ces gens font les travaux que les Dominicains ne veulent pas faire dans les plantations de canne à sucre, mais ils viennent aussi revendre tous les vêtements et denrées que les ONG leur donnent dans leur pays », explique Pamela, qui va acheter dans les « pulgas », les marchés où les Haïtiens revendent l’aide humanitaire. (…)
