La cour d’assises des Alpes-Maritimes a condamné ce mardi Oumar Diallo à 12 ans de réclusion criminelle pour viol et tentative de viol. Ce jeune Sénégalais a été reconnu coupable de deux agressions commises à Nice, à quelques jours d’intervalle, sur deux étudiantes à la descente du tramway. Il avait été confondu par l’enquête de la sureté départementale. Les jurés ont suivi les réquisitions de l’avocat général, et prononcé une interdiction définitive du territoire français.
Vous pouvez aussi aimer
Déclaré trois fois irresponsable pénalement, l’accusé algérien est quand même jugé aux assises
À rebours de trois expertises psychiatriques qui le diagnostiquaient atteint d’une maladie mentale abolissant son discernement, et de la décision du juge d’instruction et du parquet qui avalisaient ces expertises, Yehya...
Parents tordus, enfant victime et reptation médiatique
Un enfant de 9 ans, candidat à une émission de télévision de la chaîne Gulli, a été recalé en raison de son prénom : “Islam“… Arnaud Lagardère, propriétaire de la chaîne, réclame une enquête interne...
Apéro saucisson-pinard à Toulon
“Pour la première fois en France, un apéritif nationaliste “saucisson-pinard” a eu lieu. Lancé par le comité Toulon Nation et repris par le Front national, le rassemblement a réuni entre 50 et 80...
Sevran (93) : Guéant promet de “restaurer l’Etat républicain”
Le ministre de l’Intérieur, Claude Guéant, a promis mardi, lors de la séance des questions au gouvernement, de “restaurer l’Etat républicain” à Sevran et une présence policière supplémentaire...
Regards sur la différentiation communautaire
[dailymotion][/dailymotion] Ce documentaire a été réalisé en Seine Saint-Denis . “Les différents intervenant(es) mettent en avant le caractère marginaliste et stigmatisant de la sémantique identitaire utilisée par...
« Requiem pour 25000 poulets » (Docu audio)
Aux côtés d’Olivier Gueguen, un éleveur breton qui a perdu 25000 poulets suite à une coupure d’électricité, nous explorons un milieu professionnel hyper-technique et épuisant, où la logique industrielle...