Le vieux scénario des troubles interconfessionnels a resurgi cette semaine dans un petit village du gouvernorat d’Assouan autour de la construction d’une chapelle dans une salle dédiée aux réceptions et fêtes coptes dont les musulmans ne voulaient pas. Depuis le début des opérations de transformation, les coptes du village de Merinab vivent sous la menace des salafistes. Ces derniers leur ont déconseillé d’aller plus loin dans leurs travaux de rénovation. Les coptes, de leur côté, veulent accélérer les travaux pour mettre leurs détracteurs devant un fait accompli. Leur petit projet fut avorté par des jeunes mécontents sortant de la prière de vendredi.
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