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Boeuf stroganoff, poulet créole, porc hawaïen, brochette de saumon : plusieurs prisonniers québécois mangent mieux derrière les barreaux que le Québécois moyen dans sa cuisine.

Nourris aux frais de l’État au coût de 9,5 M$ par année, les prisonniers ont droit à des repas originaux et diversifiés que bien des Québécois n’ont pas les moyens de s’offrir ou le temps de se cuisiner. Les criminels incarcérés mangent à partir de menus variés préparés par des diététistes et respectant, pour la plupart, le guide alimentaire.

À la demande du Journal, la diététiste Isabelle Huot, docteure en nutrition, a analysé les menus des 18 centres de détention du Québec, obtenus du ministère de la Sécurité publique, par le biais de la loi d’accès à l’information.  De fait, elle a eu des surprises :

«Il y a des prisons où tu te dis: »Hein? ils mangent ça ? Wow !» Selon elle, de façon générale, les prisonniers du système provincial ont un meilleur bilan alimentaire que bien des Québécois.

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