Fdesouche

Le 5 octobre 2002, Azedine Berkane poignarde le maire de Paris. Motif : il n’aime pas les homosexuels et les hommes politiques.

Les enquêteurs n’avaient pas tardé à en apprendre davantage sur l’agresseur, habitué des locaux de garde à vue et condamné plusieurs fois pour vols, dégradations ou trafic de drogue. Pour expliquer son geste, il avait parlé d’« impulsion », d’« acte de foi » perpétré par respect envers Dieu. L’avocate avait bien insisté sur le fait qu’il ne s’agissait “ni d’un geste politique, ni d’un geste homophobe»

A l’époque, les médecins diagnostiquent chez l’agresseur — à l’issue de 3 expertises quand même — «une maladie mentale» prenant «la forme d’un délire à thématique mystique et politique». Reconnu pénalement irresponsable, le bonhomme est interné en hôpital psychiatrique. Comme il ne faisait par parler de lui, l’équipe soignante n’avait pas hésité à lui faire rapidement bénéficier d’une formule “souple”. Si souple que la police dut lancer un avis de recherche pressant en 2007. Retrouvé, l’individu fut placé en QHS. Sources : (1) (2)(3)

__________________
Il y a dans cet ancien “fait divers” de bons gros morceaux de pensée unique. Saurez-vous les retrouver ?
Piste 1 : un individu issu de la diversité, et qui poignarde un homosexuel notoire en déclarant ne pas aimer les homosexuels, ne commet pas un acte homophobe.

Agence de marketing prémonition présentation

Fdesouche sur les réseaux sociaux