Violences du 1er Mai : un centralien payé 4200€/mois, un fils de chercheur au CNRS, une fille de directeur financier… des prévenus aux profils étonnants
Sécurité 1er Mai : Un CRS raconte qu’il n’a reçu l’ordre d’intervenir que 45min après les saccages : «Les gens venaient nous dire “Ils sont en train de tout casser!” mais tant qu’on n’a pas d’instructions, on reste en barrage. C’est regrettable et honteux.»
Limoges (87) : insultes, bagarres, départs de feux, menaces, le personnel se dit “dépassé”, rien ne va plus au lycée Saint-Exupéry
Bagnolet (93) : des voitures incendiées, un homme blessé par balles, nouvelle flambée de violence sur fond de trafic de drogue