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Trois ans… Trois ans pour arriver à une décision juridique et résoudre une situation que le simple bon sens et un coup de pied au cul auraient dû régler en 10 minutes.

L’affaire commence en 2005 à Rotterdam : le dénommé Mohammed Faizel Ali Enait (photo) se présente en djellabah-bonnet-barbiche pour un entretien d’embauche à la municipalité de la ville. Poste envisagé ? Chargé des relations avec la clientèle.

Au cours de l’entretien, il déclare refuser de serrer la main des femmes pour motifs religieux (il avait déjà refusé de serrer la main d’une femme présente à l’entretien) et la municipalité décline sa candidature. Le furieux porte alors l’affaire devant l’équivalent de la HALDE néerlandaise, la commission pour l’égalité de traitement (CGB). Et gagne.

En octobre 2006, le CGB [qui n’est pas le Cultural Gang Bang mais le Commissie Gelijke Behandeling] – déclare : “La ville de Rotterdam a procédé à une différenciation sur la base de l’appartenance religieuse en refusant la candidature de X ; elle n’a pas respecté son devoir de fournir un environnement de travail exempt de discrimination et n’a pas su apprécier le droit de X à pouvoir interpréter son expérience religieuse. (…) De plus, les craintes de la municipalité sur le fait que la tenue vestimentaire de X  puisse poser problème dans les relation avec la clientèle sont infondées”.

« Je pense que j’obtiendrai
ce poste, et ça fera bien suer
les aborigènes.
C’est comme ça
que j’appelle les autochtones néerlandais. »

Pensant avoir gagné, le sympathique barbu se répand dans la presse. Dans une interview au Algemeen Dagblad de 2006, il déclare “La société mono-culturelle vient d’être enterrée sans un bruit. C’est un point de non-retour. Il est essentiel que les musulmans occupent des postes-clé.”

Et il ajoute d’ailleurs que s’il n’a pas le poste, il portera l’affaire devant les tribunaux. Détail : il précise également que s’il obtient le poste mais n’obtient pas de compensation financière pour le salaire supposément perdu lors de tous ces démêlés, il fera également un procès à la ville…

Le fâcheux est donc confiant car, toujours dans la même interview, il déclare : ” Je pense que j’obtiendrai ce poste, et ça fera bien chier les aborigènes. C’est comme ça que j’appelle les autochtones de ce pays.”

Mais la municipalité de Rotterdam décline l’avis du CGB et campe sur ses positions : “Nous attendons des fonctionnaires qu’ils traitent les gens sur un pied d’égalité. Serrer la main de tous les clients fait partie des attitudes normales et acceptées pour nouer la relation entre un chargé de clientèle et les clients.”

Et le procès s’engage… Ce n’est que le 21 août 2008, enfin, que le juge renvoie le plaignant à ses chèvres et déclare : “Serrer la main est une manière courante de saluer aux Pays-Bas. Refuser de serrer la main peut être perçu comme grossier ou offensant. Un chargé de clientèle sert d’intermédiaire entre les habitants et les autorités locales. Refuser le poste à X est une décision légitime et nécessaire.”

Il reste la Cour Européenne…
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Il faut rappeler ici brièvement la stratégie de l’islam en Occident, car le petit jeu musulman est toujours le même en Europe : harcèlement, médiatisation et entrisme.

Profitant de la faiblesse des “démocraties” occidentales et de l’influence actuelle des droit-de-l’hommistes de tout poil, la stratégie musulmane est de chercher en permanence à pousser, chaque jour un peu plus loin, ses pions et ses revendications coraniquement correctes.

Que ces revendications soient acceptées ou refusées n’importe guère au final : à la suite de provocations aussi gratuites qu’insultantes pour les pays d’accueil, il ne reste plus aux barbus qu’à observer de loin les inévitables déchirements entre les européens qui défendent leur culture et les beaux-penseurs médiatico-tolérants pour qui toute avancée des communautarismes ethniques et de l’immigration est vécu comme une victoire.

Quel que soit le secteur, le but est d’exister sur la scène médiatique et d’affirmer, encore et toujours, la présence de l’islam sur notre sol :
• Affichage du voile systématique et accusation de racisme à la moindre protestation (les médias adorent). Après les tentatives d’imposer le voile à l’école, le voile au travail, le voile dans l’administration, c’est aujourd’hui le sport qui sert de support à cet affichage médiatique. Football, arts martiaux… Des gamines manipulées sont les outils de cet entrisme permanent et de la remise en question systématique des usages en vigueur.
• Provocation gratuite (on se souvient de l’hallucinante affaire de la cabane à sucre où un groupe de musulmans avait fait la prière au beau milieu d’un restaurant québecois traditionnel) : explosion médiatique assurée.
• Pression permanente pour des “aménagements” : horaires de piscine, repas sans porc, salles de prières, contestation d’éléments à haute valeur symbolique (pensez aux gynécologues tabassés)…
• Exigences volontairement scandaleuses pour demeurer à la Une de l’opinion.
• etc.

Cette stratégie est le fidèle reflet de la volonté de domination intrinsèque à l’islam. Attiser
les foyers de discorde et provoquer en sont les principaux vecteurs.

Quand les musulmans se voient opposer un refus catégorique, la stratégie est double :
1°) rebondir sur le terrain du “racisme” et de la discrimination” : procès, commissions “éthiques”, droits de l’homme. Il s’agit de profiter des failles et des faiblesses de la philosophie occidentale. On retrouve alors les milices habituelles (MRAP et cie).
2°) lâcher-prise temporaire, tout en attaquant parallèlement un autre secteur jusque-là épargné : si les instances sportives sévissent, c’est dans une administration que se reporte le conflit, ou sur l’exigence de salles de prière dans une municipalité etc…

Cette stratégie est le fidèle reflet de la volonté de domination intrinsèque à l’islam (voir à ce sujet le discours de Robert Spencer). Nul désir de cohabiter pacifiquement avec le chrétien ou l’infidèle. Attiser les foyers de discorde et provoquer en sont les principaux vecteurs. La violence des attentats n’est que le volet le plus visible de cette stratégie.

En radicalisant les positions à la fois des musulmans et des occidentaux, en exaspérant les “de souche” (écouter Alain Besançon à ce sujet) l’objectif est bien de pousser au conflit ouvert. Conflit qui, dans les “démocraties” actuelles, se solde toujours par un gain pour les “minorités agissantes” et des concessions de la part des “natifs”. Nous arriverons un jour à des revendications territoriales de la part de l’islam, c’est immanquable.

Voir pour finir “La stratégie de l’islam pour conquérir l’Europe“, interview de René Marchand.

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